Le saviez-vous ? La production de biomasse capte du CO2 durant sa phase de croissance et sa valorisation en énergie et en matériau est une alternative à l'utilisation de ressources fossiles.
Dans cet article, on vous rappelle quelques fondements de base, relatifs à la dynamique globale des échanges de carbone. On vous parle également du rôle de nos actions dans la transition énergétique.
Ce 15 janvier 2020, dans le cadre d'une visite royale en Province de Liège, la Reine Mathilde s’est rendue à BioWanze. Lors de cette journée, la délégation présente sur place s’est montrée très intéressée par l'objectif visé par BioWanze : la neutralité carbone d'ici 2030 en utilisant la biomasse locale dans une centrale de cogénération à haut rendement.
En 2015, Stephan Henry fait appel à ValBiom pour monter un projet de production et autoconsommation de miscanthus. Son objectif : installer dans sa ferme une chaudière biomasse et mettre en place un réseau de distribution de chaleur. Aujourd’hui, la chaudière est installée.
Le maïs énergétique a plusieurs avantages : meilleure maîtrise de l’approvisionnement et du stockage, qualité constante, bonne densité énergétique… Il s'agit d'un intrant intéressant lorsqu’il est mélangé avec d’autres matières et/ou déchets (cf. Partie 1/2 de l'Analyse ValBiom).
Dans cette seconde partie d'analyse, ValBiom s'attarde sur le besoin et l’intérêt de développer d’autres cultures alternatives intéressantes.
En 2019, le maïs provenant de cultures énergétiques ne représente qu’une proportion infime de la surface agricole wallonne. Malgré le fait que ce type de maïs a peu d’impact sur la production alimentaire, chaque nouveau projet en bioénergies (notamment de biométhanisation) fait débat.
Dans cette analyse, ValBiom apporte des éléments de réponses pour faciliter les échanges sur cette thématique sensible : De quelles cultures énergétiques parle-t-on? Quelles sont les surfaces concernées en Wallonie?
Le 7 novembre dernier, l’équipe du projet Interreg ValBran (valorisation du son de blé) a présenté ses 1ers résultats de recherche devant près de 100 participants, majoritairement des représentants d’entreprises issues de la zone transfrontalière (Flandre, Wallonie, Grand Est et Hauts-de-France).
Ecover, Seppic ou Sopura ont d'ores et déjà manifesté leur vif intérêt pour les molécules développées.
L’Administration et l’ISSeP ont présenté une 1ère version du contenu des dossiers de demande, incluant les formulaires et les canevas de dossiers techniques.
Afin de renforcer les contact avec le secteur professionnel des déchets, il a été décidé de soumettre ces documents (SSD et reconnaissance de SP) aux avis et commentaires des personnes qui le souhaitent.